Comment se réjouir en évangélisant? (Isaac Adams)

Dans Luc 15, Jésus fait le récit de trois histoires dans lesquelles il est question de choses perdues puis retrouvées, ainsi que de la joie qui découle des retrouvailles. Ces histoires sont des illustrations de la joie qu’il y a au ciel lorsqu’un pécheur se repent (Lu 15.7). Mes frères et sœurs, le ciel sera l’endroit le plus heureux qui soit parce que tous les enfants de Dieu auront été retrouvés (Jn 6.37).

Nous pouvons avoir des avant-goûts de la joie céleste dans notre vie ici-bas. Par exemple, lorsque le Seigneur bénit nos efforts d’évangélisation ; lorsque nous voyons de nouveaux convertis se faire baptiser ; lorsque Dieu prend soin de nous malgré le rejet. Dans toutes ces choses, nous goûtons à la joie céleste. Peut-être aurons-nous même la joie de conduire quelqu’un à la foi, d’être en quelque sorte la sage-femme d’une nouvelle naissance. Et encore, il ne s’agit que d’amuse-gueules par rapport à la joie que nous connaîtrons au ciel.

Mais il faudra d’abord attendre le retour de Jésus avant de savourer le festin complet, le repas de noces de l’Agneau (Ap 19.6-9). Au ciel, Dieu abondera en joie devant le fruit des graines d’évangélisation que nous aurons plantées dans une bonne terre (Mt 13.1-23).

En résumé, même si en ce moment nous pouvons rencontrer des difficultés dans notre évangélisation, nous savons que la joie nous attend. Tenez bon, car Dieu s’occupe de vous et vous tient tout aussi fermement et joyeusement que lorsqu’il vous a trouvé. Avec lui, vous êtes capable d’annoncer l’Évangile.


Cet article est adapté du livre : « Que faire si je suis découragé dans mon évangélisation ? » de Isaac Adams